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Le cerveau d’un journaliste fonctionnerait à un niveau inférieur que la moyenne, selon une étude

par Willy 23 Mai 2017, 12:55 Journal medecine

Les journalistes gèreraient mal leurs émotions, boiraient trop d’alcool et travailleraient plus lentement qu’un salarié moyen. C’est du moins ce qu’avance une étude réalisée par la docteure Tara Swart qui a fait grand bruit sur les réseaux sociaux.

C’est en analysant le style de vie et les comportements de 40 journalistes que la docteure spécialisée dans les neurosciences en est arrivée à ces conclusions.

L’étude, que relaie le Business Insider, a permis d’établir un constat: le cerveau des journalistes fonctionnerait plus lentement que la moyenne. Conséquemment, les journalistes auraient plus de difficulté à résoudre des problèmes complexes, à alterner entre deux tâches et à être créatifs et ouverts d’esprit. (…)

Selon les études psychologiques auxquelles ont pris part les sondés, les journalistes croient que leur travail à un impact sur la société, ce qui fait qu’ils auraient une plus grande facilité à performer sous la pression et à respecter des délais précis.

À la lumière de ces découvertes, la docteure Tara Swart en arrive à cette conclusion: «Les journalistes sont sans contredit confrontés à de nombreuses pressions, et ce tant au travail qu’à la maison, mais le sens et la raison d’être qu’ils attribuent à leur travail les aident à rester mentalement stables», peut-on lire dans son rapport.

Le journal de Québec

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